En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation des cookies nous permettant de réaliser des statistiques de visites.

 Accueil du site de Cleurie

 

 

 

Le lieu-dit "la Charme" à CleurieLe lieu-dit "Morlexard ou Morexard" à CleurieLe lieu-dit "Petit Sainte-Sabine" à CleurieLe lieu-dit "La Mousse" à CleurieLe lieu-dit "Le clos de Lamberfaing" à CleurieLe lieu-dit "Le col du Singe" à CleurieLe lieu-dit "Faing la Grue" à CleurieLe lieu-dit "le Savoyen" à CleurieLa pierre de Kerlinkin, à St-Etienne les Remiremont (à quelques pas de la commune de Cleurie)Le lieu-dit "l'Etang de la Bîme (ou de l'Abîme)" à CleurieLa "Pierre le Lièvre" (à quelques pas de la commune de Cleurie)Le lieu-dit "Purifaing", à St-Etienne les Remiremont (à quelques pas de la commune de Cleurie)Le lieu-dit "les Rubiades" à CleurieLe lieu-dit "Sainte Sabine", à St-Etienne les Remiremont (à quelques pas de la commune de Cleurie)La "Fontaine Saint-Augustin" à CleurieLe plateau au dessus de la "Fontaine Saint-Augustin" à CleurieLa ferme "Jacquerey" à CleurieL’assèchement d'une tourbièreUne "République" à Cleurie...Les Publications des Amis de la Vallée de CleurieLa scierie Blaison à CleurieLa reconstruction de l'École de CleurieL'École de CleurieLe chantier de granitLes Croix ou Calvaires de Cleurie

L’assèchement d’une tourbière

 

retour accueil de Cleurie.com

 

La recherche de nouvelles terres à exploiter témoigne d’un accroissement de la population rurale au milieu du XIXème siècle. Les communes ont parallèlement désiré augmenter leurs ressources en valorisant leurs terres incultes. Elles ont alors mis en location les pâturages communaux, notamment les parcelles feigneuses situées sur le plateau de la Grande Charme, pour à terme en faire des terres à bois. 

C’est ainsi que la commune de La Forge a décidé, par une délibération du conseil municipal en date du 18 août 1841, d’autoriser la création d’une prairie au lieu-dit Le Faing Galand dans une feigne d’un hectare environ située dans ses bois communaux. 

Le conseil municipal a constaté que cette feigne ne produisait aucun bois. Il a donc proposé de faire des saignées pour l’assécher afin, après quelques années, d’y repiquer des épicéas. 

Dans ce but, il a estimé que le moyen le plus avantageux pour la commune était de louer cette feigne par la voie des enchères publiques et de charger le locataire d’y faire des fossés d’assainissement pour y faire un pré. 

Il a donc demandé à l’autorité préfectorale l’autorisation de louer cette feigne par enchères publiques pour huit ans consécutifs et d’imposer au preneur, s’il y en a un, la charge de faire les fossés et de repiquer les quantités d’épicéas.

haut de la page